Mon parcours vers la liberté financière
Présentation Jérémie
Je m’appelle Jérémie. Je suis minimaliste, investisseur dans l’immobilier locatif, la bourse et l’entrepreneuriat, auteur et formateur. Au-delà de tout cela, je me définis par-dessus tout comme un père qui veut profiter de sa famille. Je souhaite partager avec vous mon parcours vers la liberté financière. Je suis né dans une famille de la classe moyenne. À l’adolescence, j’étais passionné de musique et j’ai souhaité faire des études scientifiques pour travailler dans l’audiovisuel.
À 14 ans, j’ai compris qu’à cause de la crise économique des années 90, trouver du travail serait difficile. Je savais donc qu’il vaudrait mieux faire ce dont j’avais envie, sans m’inquiéter de savoir si les offres d’emploi seraient nombreuses. Je souhaitais vivre de ma passion au lieu de devoir subir un emploi.
“Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour dans ta vie”
Confucius
J’ai suivi un cursus scientifique et j’ai obtenu un DUT Génie électrique, une Licence de Commerce industriel et un Master en audiovisuel. Je suis ensuite parti à Paris pour travailler.
Mes premières années furent difficiles à cause du manque d’argent, de l’isolement familial, du manque de travail. Sans réseau professionnel, je devais démarrer de zéro, perdu dans la grande ville.
Ces années de vache maigre ont eu un impact déterminant pour la suite, car elles m’ont endurci. J’ai appris à économiser le moindre centime. C’était une forme d’apprentissage du frugalisme et du minimalisme financier par la force.
Une amie m’a un jour conseillé d’aller voir les services sociaux pour demander une aide financière. Je n’ai pas honte de dire que j’ai été au RMI (ancien RSA) et que j’ai fait mes courses dans des épiceries sociales.
Demandez pour obtenir
Ce fut ma première grande leçon dans le domaine de la liberté financière.
Quand je m’engage dans un projet, je n’hésite pas à en parler. Personne ne pourra vous aider si vous n’exprimez pas votre besoin. Quand j’envisage d’investir dans un bien immobilier, je demande toujours au vendeur s’il est prêt à baisser son prix. Si je ne lui demande pas, il ne le fera jamais de lui-même.
Avec du temps, j’ai fini par travailler pour des chaînes de télévision et des sociétés de production de documentaires. Ma situation financière allait mieux, mais je restais pourtant dans une situation précaire. Je me suis réveillé un jour en me rendant compte que le problème était sans fin. Si je ne pouvais plus travailler à cause d’une incapacité physique, alors je n’aurais plus de revenus. J’étais pris d’un sentiment de vertige, comme si je me retrouvais au bord d’un précipice. Ma seule ressource, c’était ma force de travail. Je ne voulais pas être cassé à 40 ans, allant de contrats précaires en contrats précaires. Je ne souhaitais pas sacrifier ma vie de famille.
J’ai compris que courir après l’argent était sans fin et que ce que nous avons de plus précieux c’est le temps.
Les moments perdus ne repassent jamais.
La liberté financière par l’investissement et le minimalisme
Une vie minimaliste consiste avant tout à se débarrasser du superflu et de ce qui est inutile pour simplifier sa vie, pour l’épurer et se concentrer sur l’essentiel, l’acquisition d’actifs rentables. Ces investissements rentables qui vous permettront de compenser vos besoins d’argent. Tel est le secret de la liberté financière à 40 ans.
Je me suis toujours tenu loin du consumérisme et c’est d’abord en cela que je suis minimaliste : par le simple fait que je refuse de me définir à l’aune de mes possessions. En d’autres termes, être, ce n’est pas avoir.
Comme beaucoup, j’ai commencé par acheter ma résidence principale en commettant la pire erreur. Je croyais que l’investissement immobilier locatif rentable était réservé aux riches.
Devenir libre à 40 ans me semblait donc impossible même si, tous les mois, j’économisais une grande partie de mon salaire. Le véritable problème est que j’accumule les passifs alors même que les sources de revenus se résumaient à mon emploi précaire d’assistant de production intermittent.
Je ne savais pas ce qu’est un cashflow (flux de trésorerie), ni les revenus passifs. Je ne comprenais pas ce qu’est la gestion de patrimoine (alors qu’au fond chacun sait aujourd’hui que les CGPI gagnent surtout de l’argent en vendant des programmes de défiscalisation tels que le Pinel. Les clients se laissent séduire par les avantages fiscaux sans toujours réaliser que ces économies d’impôts sont la plupart du temps que des arguments commerciaux. En effet, au moment de la revente, beaucoup réalisent qu’ils ne sont pas parvenus à s’enrichir.
Je m’éloignais de la liberté financière
J’étais persuadé qu’il fallait gagner de l’argent, épargner et le faire fructifier en faisant des placements. Je dois dire que j’ai longtemps cru au fameux « Gagner plus pour gagner plus ». L’idée même de vivre des rendements de ses investissements avec effet de levier me semblait totalement hors de portée pour une raison fort simple : j’étais ignorant. Je n’avais alors aucune éducation financière. Des millions de Français connaissent le manque. J’ai compris que je devais générer des revenus complémentaires, mais je ne savais ni comment faire ni par où commencer. Je ne savais qu’échanger mon temps (de vie) contre de l’argent. Je ne savais pas comment créer de la valeur, car personne ne me l’avait enseigné. C’est la peur du manque qui m’a motivé. Pour trouver des réponses, j’ai demandé à Google. J’ai appris, j’ai acheté des livres, j’ai lu des blogs, j’ai contacté des experts, des banquiers et des agents immobiliers.
En parallèle de cela, j’ai aussi pris le temps de mieux gérer mes comptes en banque. Puis j’ai commencé à investir pour me mettre en confiance et aborder la gestion de biens. Ensuite, j’ai diversifié et j’ai augmenté le rendement de mes actifs. J’ai investi mon propre argent et j’ai aussi appris de mes erreurs. J’avais compris que la surexploitation de nos ressources engendre des désastres écologiques. Je me suis mis en tête de revoir mon mode de vie pour limiter mes dépenses, sans jamais me priver. J’étais peu à peu devenu un adepte du frugalisme. Je voulais quitter Paris et le monde soi-disant « moderne » pour profiter de la nature et revenir à un mode de vie simple, plus proche de mes valeurs et de ceux que j’aime. L’investissement immobilier permet de percevoir des loyers qui vont permettre de rembourser l’emprunt bancaire. L’idée est donc de ne pas utiliser son épargne pour investir dans l’immobilier, mais plutôt de l’investir dans des placements plus difficiles à financer grâce à de la dette, tels que les ETF, la bourse ou les cryptomonnaies. J’ai compris que votre argent doit servir à financer les actifs que vous ne pouvez pas acquérir par un prêt bancaire. Reste à vous former pour connaître les avantages fiscaux dont vous pouvez bénéficier. Plus tard, j’ai souhaité diversifier mes sources de revenus et j’ai investi dans des SCPI (sociétés civiles de placements immobiliers). Les objets qui nous entourent finissent inexorablement par se déprécier. Je ne voulais plus m’acheter des choses, mais des moments, des instants de vie qui resteront gravés dans ma mémoire. J’ai compris que pour avoir l’envie irrésistible d’atteindre la liberté financière à 40 ans, il fallait avoir connu le manque. Je ne suis pourtant pas l’élève parfait. En effet, j’ai parfois fait de mauvais choix. Il parait que c’est ce qu’on appelle l’expérience. J’avance cependant vers l’indépendance financière, car j’en ai fait plus de bons que de mauvais. Aujourd’hui je suis même devenu formateur pour aider des investisseurs comme vous à atteindre leurs objectifs.
Travailler pour vivre et non pas vivre pour travailler
Aujourd’hui, j’ai appris à vivre mieux en savourant les petits moments de bonheur que la vie peut offrir. C’est ce que l’investissement, le frugalisme et le minimalisme au quotidien m’ont permis d’acquérir.
Je n’imaginais pas qu’il soit possible de vivre sans travailler et d’être heureux. Pourtant, j’ai découvert au fil de mon parcours d’investisseur frugaliste que pour atteindre l’autonomie financière à 40 ans, générer de la richesse et sortir de la rat race, il faut épargner et générer des revenus alternatifs sur le long terme. Pour devenir riche et atteindre l’autonomie financière, j’ai donc diversifié les sources de revenus pour être indépendant. Mettre de l’argent de côté sur un compte épargne comme le livret A est un préalable. C’est ce que j’appelle dans mon livre « Un salaire sans rien faire (ou presque) » le fameux, payez-vous en premier tel que présenté par Robert Kiyosaki dans son livre « Père riche, Père pauvre ». Toutefois, il faut ensuite l’investir pour obtenir des rendements supérieurs à l’inflation.
Je considère que l’indépendance financière totale ne peut pas s’envisager par des jeux comme le loto ou les paris sportifs. Même si beaucoup souhaitent devenir rapidement rentiers, je crois qu’il vaut mieux se concentrer sur l’acquisition d’actifs rentables et diversifiés dans l’immobilier locatif rentable, la bourse et l’entrepreneuriat. En parallèle, de cela, j’ai toujours continué à pratiquer le minimalisme comme mode de vie avec mes finances, ce qui permet de réduire naturellement mon besoin d’argent. Vous aussi, vous pouvez dès maintenant reprendre le contrôle de votre budget, solder vos dettes, mettre de l’argent de côté et même faire un emprunt pour ne plus rester bloqué dans le salariat. Gagner beaucoup d’argent, avoir du cash, et ne plus craindre le banquier vous permettra d’être financièrement indépendant tout en ayant une vie plus simple et épurée. Vous apprendrez à faire des placements à forte rentabilité (via un crédit immobilier pour faire un premier investissement locatif) pour construire votre patrimoine immobilier.
Vous pouvez prendre votre retraite anticipée et gagner plus d’argent pour profiter de la vie. Je vais vous apprendre comment j’utilise les intérêts composés, l’effet de levier, la diversification et le frugalisme au quotidien pour atteindre l’indépendance financière. Ce sont les 4 piliers de votre liberté financière, c’est pour cela que j’appelle cela le Protocole 4P et que je propose une formation complète.
Vous pourriez vous former à investir sur le long terme dans l’immobilier locatif et d’acheter un bien pour obtenir des rendements locatifs par la location meublée (LMNP) pour vous constituer un patrimoine de préférence avant 40 ans (certains parleront alors du mouvement FIRE). Encore faut-il savoir dénicher les bonnes affaires sur marché immobilier locatif, trouver les locataires. Il faudra aussi choisir la meilleure fiscalité pour bénéficier de réduction d’impôt. C’est ce que j’apprends à mes clients dans la formation IMMO LIBERTÉ.
Aujourd’hui, j’aspire à peu travailler, quitte à avoir moins d’argent. Je fais plus de choses, car j’ai plus de temps pour mes proches et pour faire les activités que j’aime. Notre temps est limité et il ne passera pas deux fois. Chaque seconde de votre vie est extrêmement précieuse.
Vous trouverez sur ce site des outils pour apprendre à gérer vos finances personnelles au travers de stratégies simples et à savourer chaque instant de votre vie.